A la vue du tableau de Winold Reiss, on ne peut éviter le rapprochement avec les graffiti. D'autres peintres précurseurs du mouvement graffiti tels Keith Haring et Jean-Michel Basquiat sont également présents dans l'exposition.
Extrait du journal Le Soir de Bruxelles, édition du vendredi 15 mai 2009 :
... De la « bamboula fantaisie » au milieu du XIXe siècle à Keith Haring et ses affiches pour le festival de Montreux de 1983 ou les tableaux de Basquiat en 1986, en passant par les pochettes de disques méconnues d'Andy Warhol entre 1956 et 58, pour Monk, Basie ou Artie Shaw (sans parler du superbe portrait d'Aretha Franklin en 1986), on se rend compte à quel point l'esprit et l'iconographie jazz ont envahi l'art et nos vies tous azimuts.
Des noms moins connus aussi mais aux œuvres tout aussi remarquables, comme les negro drawings des années 20 et 30 de Miguel Covarrubias, les photos de Bessie Smith, Billie Holiday, Cab Calloway… de Carl Van Vechten, les photos plus récentes de Giuseppe Pino et Roberto Masotti. Tout explose comme un tableau de Jackson Pollock (d'ailleurs présent au travers de son White light). Les frontières temporelles s'effacent devant tant d'imaginations artistiques. Les chapitres servent de repères, bien sûr : l'âge d'or de 1917-1930, les années folles de l'entre-deux-guerres, le swing des années 30, le be-bop de l'après guerre, le west coast des années 50, le free des années 60 à 80, ...
Source : Le Soir
Extrait du journal Le Soir de Bruxelles, édition du vendredi 15 mai 2009 :
... De la « bamboula fantaisie » au milieu du XIXe siècle à Keith Haring et ses affiches pour le festival de Montreux de 1983 ou les tableaux de Basquiat en 1986, en passant par les pochettes de disques méconnues d'Andy Warhol entre 1956 et 58, pour Monk, Basie ou Artie Shaw (sans parler du superbe portrait d'Aretha Franklin en 1986), on se rend compte à quel point l'esprit et l'iconographie jazz ont envahi l'art et nos vies tous azimuts.
Des noms moins connus aussi mais aux œuvres tout aussi remarquables, comme les negro drawings des années 20 et 30 de Miguel Covarrubias, les photos de Bessie Smith, Billie Holiday, Cab Calloway… de Carl Van Vechten, les photos plus récentes de Giuseppe Pino et Roberto Masotti. Tout explose comme un tableau de Jackson Pollock (d'ailleurs présent au travers de son White light). Les frontières temporelles s'effacent devant tant d'imaginations artistiques. Les chapitres servent de repères, bien sûr : l'âge d'or de 1917-1930, les années folles de l'entre-deux-guerres, le swing des années 30, le be-bop de l'après guerre, le west coast des années 50, le free des années 60 à 80, ...
Musée du quai Branly
Tél : +33.1.56.61.70.00
Infos www.quaibranly.frTél : +33.1.56.61.70.00
37, quai Branly
75007 Paris (France)
75007 Paris (France)
Source : Le Soir